Pour fêter La Chandeleur, Marc et moi avons pris un peu d'avance. Hier, nous avons fait sauter les crêpes... L'occasion pour nous de vous préparer un bien sympathique dessert!

Une poire fondante et juteuse à souhait... quel délice ! Mais la poire se prête aussi à de multiples accommodements culinaires quelquefois inattendus mais toujours succulents.

Le poirier est un arbre originaire du centre de l'Asie. La tradition rapporte que les souverains venant se faire sacrer dans la Cathédrale de Reims, recevaient en cadeau une poire et une coupe de Champagne. Louis XV, Louis XVI en furent gratifiés. Charles X en dégusta également lors de son sacre en 1825 tandis que le maire de Reims lui disait : « Nous vous offrons ce que nous avons de meilleur : nos vins, nos poires et nos cœurs. »

Ce n'est un secret pour personne, rien que de prononcer le mot "chocolat", je fonds de plaisir... Aujourd'hui, alors que le froid sévit dans nos régions, je vous propose de réaliser une petite douceur.

L’Épiphanie est une fête qui célèbre la visite des mages à l'enfant Jésus. La tradition veut que l'Épiphanie soit l'occasion de « tirer les rois » grâce à la très célèbre galette des Rois.

Au menu de ce jour, nous vous proposons un dessert simple à réaliser et qui sera encore meilleur servi tiède !

Dans les pays francophones, le repas de Noël se termine bien souvent en dégustant la fameuse bûche de Noël. En fait, cette tradition culinaire reproduit un autre rite lié à la célébration du solstice d'hiver. Depuis plusieurs siècles, en effet, on a pour habitude, lors de la veillée de Noël, de faire brûler dans l'âtre une très grosse bûche qui doit se consumer très lentement. L'idéal étant qu'elle puisse durer pendant les douze jours du cycle c'est à dire jusqu'au nouvel an. La bûche doit provenir, de préférence, d'un tronc d'arbre fruitier, censé garantir une bonne récolte pour l'année suivante.

Beaucoup de douceur... un rien de gourmandise!

Une légende veut que le tiramisu soit une manière de profiter des restes de gâteau et de café devenu froid afin de ne pas les gaspiller. Il suffisait de rajouter un peu de liqueur pour rendre le gâteau durci plus mou et de recouvrir ensuite le tout de crème ou de mascarpone. La nature même de ce délicieux dessert permet la réalisation de nombreuses variantes.

L'origine de la génoise remonte à la fin des années 1830, où Auguste Julien , chef chez Chiboust, en Voyage à bordeaux chez le pâtissier Lorsa voit un ouvrier italien venu de Gênes battre le biscuit sur feu doux. Dès son retour, il effectue de nombreuses expériences et, en hommage à l'ouvrier, il baptise la pâte " Génoise". Lors d'une de nos marches avec le club vosgien, Chantal, une amie, m'a soufflée sa recette de génoise!